Auteur : Bruno DUBREUCQ

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N°406-Mon Dieu qu’il est difficile de discerner !

feuille paroissiale N 406   Mon Dieu qu’il est difficile de discerner ! Eliott, 14 ans est en troisième. Les week-ends du moment sont occupés par les portes ouvertes des différents lycées de la région. D’Eliott ou de maman qui est le plus stressé ?...

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N°405-Nous n’avons fait que notre devoir

feuille paroissiale N 405   Nous n’avons fait que notre devoir ! Devant l’adversité : ou l’on baisse les bras ou l’on se retrousse les manches. Le tout est d’être motivé. Pour la grenouillère, il n’y a pas le choix. L’avenir de l’outil de travail,...

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N°404-Adversité

feuille paroissiale N 404   Adversité. Nous vivons des jours difficiles ! Beaucoup d’entre-nous sont touchés par les inondations. Certains ont tout perdu, un torrent d’eau et de boue, inattendu quelques minutes auparavant, déferle dans la maison, emporte la voiture. D’autres perdent une partie...

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N°403-le diable entre par les poches

feuille paroissiale N 403   « Le diable entre par les poches » Le pape François a le don de la formule. Et comment ne pas adhérer à cette diatribe prononcée dimanche dernier ? Le diable, le diviseur sait s’introduire au cœur des familles, des couples,...

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N°402-Un attrait

feuille paroissiale N 402   Un attrait ! Que de fois dans mes rencontres m’a-t-on demandé : « Comment as-tu reçu un appel de Dieu ? ». « Comment est venu ce désir de devenir prêtre ? » Depuis ma tendre enfance, certes avec des moments de doute et même de...

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N°401- ESPERER contre toute espérance

feuille paroissiale N 401   Espérer contre toute espérance   L’histoire le montre de manière constante : la haine qui répond à la haine, la violence qui répond à la violence, ce n’est toujours que plus de haine et de violence. Aucune mièvrerie derrière...

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N°400-Dis moi pourquoi tu doutes ?

feuille paroissiale N 400 Dis-moi pourquoi tu doutes ? « L’athée est celui qui croit en la mort, il y voit le néant. Le chrétien est celui qui croit en la vie dont il attend qu’elle triomphe du néant. » Eric-Emmanuel SCHMITT Je dirais volontiers que...